mercredi 12 juillet 2017

Fable-express pour l'E.T.
(Toujours de George, bien sûr...)

Les situs susnommés, tout à leurs ablutions,
Se prirent pour des super-héros de fiction :
Pour survivre dans cet univers, faut choisir !
Et Bruce Banner n'est pas forcément le pire.

Moralité
… Comme un viatique, je tente Hulk ?

7 commentaires:

  1. Votre critique est sévère mais rigoureuse et juste, George (post précédent), et je n'en attendais pas moins de vous, je vous remercie. Je ne prétends évidemment pas hisser mes pénibles et balbutiantes tentatives d'expression écrite jusqu'aux hauteurs de votre art poétique, je ne suis pas un Superman littéraire, et auprès de votre géant vert, les miens, de vers, quand j'en fais, ce qui est rare, ne sont que petits pois. Du pipi de chameau. Voir du sperme de bédouin.

    Tenez ! à propos de sperme de bédouin, que dites-vous de cette exclamation ayant valeur de profession de foi biblique :

    Qu'Onan vécut queue jetant qu'huile !

    Cette métaphore sperme/huile, qu'en dites-vous ? Ne préfigure-t-elle pas les futures transsubstantiations christiques ? Et donc tous les autres super-pouvoirs de ses successeurs Marvel/Comics. Là vous ne pourrez plus dire que je suis hors sujet !

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  2. Impeccable, Wrob ! mais cesse de me jeter des fleurs : question vers, on me préfère mille Ritons…
    Mais surtout, par Rabellum !, bravo pour le Géant Vert : je conserve !

    Pour en revenir à l'exhortation biblique, je dirais plutôt, une pointe de regret dans la voix en songeant au vieillard jadis si infertile :
    Qu'Onan vétuste jetant qu'huile…

    Sans parler de Conan le Barbare, qui nous ramène à la BD de choc !

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  3. J'avais pensé au bodybuildé Conan, comme quoi, au sommet du Parnasse, les grands esprits de boisson !

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  4. Tonnerre ! Du coup j'ai zieuté cette nuit Connard le barbant ! Quelle daube, pat Thor !

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  5. Faut s'entendre, George : vous avez regardez un des films de Conan le Barbare avec Schwarzy, vu le remake récent, lu Conan le Barbare de Robert Howard, Lin Carter ou Lyon Sprague de Camp (selon le volume) ou bien le pastiche de Pierre Pelot publié d'abord dans Fiction et repris au Fleuve Noir, intitulé précisément Connard le Barbant ?
    Soyez un peu précis, ça vous aidera si vous devenez enfin libraire... un jour.

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  6. Hélas, ze feurste mouvie, de John Milius.
    Miserere Seigneur !

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    1. Milius est également le scénariste de la série Rome qui nous a, dans notre coin, un peu chanstiqué non du côté de la véracité historique (on s'en fout), mais à propos de la plastique généreuse de cette garce d'Atia. Je crois savoir qu'Otto pencherait plutôt du côté de Niobée...
      Mais vous, nous avons compris, ce serait plutôt de la bidoche anabolisée d'Arnold qui vous attirerait. Pourquoi pas ? Avec Arnold, les plans nichons sont légaux.

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